La Maire de Paris, Anne Hidalgo a défendu le relèvement de la taxe de séjour voté par l’Assemblée nationale. En recherche de ressources pour boucler son budget 2015, la Maire de Paris a essayé de multiplié des arguments pour bénéficier de cette rentrée fiscale qui rapporterait à la Ville de Paris 140 millions et serait destinée "au budget relatif à l’animation, l’entretien, la sécurité des lieux d’attractions touristiques de la capitale".
Le GNI et ses 3 co-présidents, Gérard GUY président de la CPIH, Claude DAUMAS président de la FAGIHT, et Didier CHENET président du SYNHORCAT, maintient sa position, dénonce et refuse les hausses de cette taxe additionnelle qui diminueront les dépenses des touristes, les recettes des professionnels et ainsi fragiliseront les entreprises du secteur, tout autant à Paris que sur le territoire français.
Le GNI relève et se félicite de la proposition d ’Anne Hidalgo de moderniser le système actuel avec notamment le passage à une taxe de séjour calculée au réel et non plus forfaitaire tout autant à Paris que sur le territoire français, pour souligner qu ’elle fait suite à une très ancienne demande portée à l’époque par le Synhorcat et réitérée dans le questionnaire envoyée en son temps à la candidate à la Mairie .
Le GNI renouvelle sa demande de création d ’un Organe de Pilotage de la Politique Touristique de Paris, qui aurait notamment pour vocation d’échanger avec les élus et les professionnels sur l’affectation des recettes de la taxe de séjour.
*Le GNI (Groupement National des Indépendants) est la seule organisation professionnelle du secteur à fédérer les entreprises indépendantes et patrimoniales : 23 000 hôtels, cafés, bars, restaurants, traiteurs organisateurs de réception et établissements de nuit employant 260 000 salariés.
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