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Le GNI dresse un premier bilan de l’impact des mouvements sociaux de notre secteur à Bercy ce mercredi 11 décembre

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Mercredi 11 décembre 2019, Didier Chenet ainsi que d’autres organisations professionnelles du commerce, de l’artisannat et des transports, ont rencontré Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances.

Cette réunion de travail a permis de réaliser un état des lieux de l’impact du mouvement de grève sur l’activité de notre secteur.

Les ministres sont déterminés à tenir compte des inquiétudes légitimes de tous les commercants et ont pris en compte nos doléances concernant notre secteur particulièrement touché du fait des annulations de réservation dont vous faisez face.

Compte-tenu des éléments transmis, les ministres ont décidé :

- une revue des entreprises qui ont déjà bénéficié des dispositifs de reports de charges sociales et fiscales du fait du mouvement des « gilets jaunes », afin de s’assurer que leurs échéanciers de paiement sont cohérents avec leur situation actuelle. Des aménagements pourront être accordés, au cas par cas, si ces situations individuelles ont évolué, de manière à ne pas mettre en difficulté les entreprises concernées ;
- une réactivation des mesures d’étalement fiscales et sociales, de chômage partiel et le cas échéant d’autorisation d’ouverture le dimanche, en ciblant dans un premier temps l’Ilede-France et le secteur du tourisme, particulièrement impactés ces derniers jours ;
- la désignation d’un référent de haut niveau auprès du Directeur général des entreprises, qui travaillera en lien avec les fédérations et les collectivités locales pour définir les modalités d’information et d’accompagnement pertinentes des entreprises en fonction de l’évolution de la situation dans les prochains jours.

Par ailleurs, des points téléphoniques réalisés tous les deux jours avec la secrétaire d’Etat se poursuivent pour ajuster le dispositif.

De plus nous demandons à ce que l’on sursoie à la taxe de 10 euros sur les contrats courts.

Nous ne manquerons pas de vous tenir informé.

 

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